Compositeurs
Retrouvez toute l’actualité d'Antonio Santana sur son site www.antonio-santana.com
Un itinéraire

L'auteur, venant du Pays Basque, est arrivé en région parisienne voici une vingtaine d'années. Parallèlement à son métier d'animateur socioculturel, il se consacre à l'écriture et à la création. Il a publié un recueil poétique "Guitarésie" et un livre d'humour "Le Ludictionnaire". Auteur de chansons, sketches et dialogues pour le théâtre et la télévision. Il se considère avant tout comme un poète et a trouvé dans la musique d'Antonio Santana un merveilleux support, sur lequel il a écrit l'ensemble des textesd'Un Chant pour la Planète.

C'est en 1847 que le bibliothécaire de la cour de Munich Johann Andreas Schmeller avait publié cette anthologie qui se base sur un manuscrit probablement rédigé entre 1220 et 1250 en Styrie ou au Tyrol du Sud, et qui fut découvert en 1803 au couvent de Benediktbeuren. C'est également à Schmeller que l'on doit le titre du recueil, Carmina Burana (Chants de Beuren).

Antonin Dvořák est né le 8 septembre 1841 à Nelahozeves, petit village tchèque sur la Vltatva et proche de Prague. Son père, Frantisek Dvořák, est l'aubergiste et le boucher de ce village. Il dirige son commerce avec beaucoup de sérieux et consacre ses moments libres à la musique. Anton est le premier enfant de la famille Dvořák.

Messa Di Gloria

C'est celui de ses débuts auquel nous devons également « Un Essai pour orchestre » et la « première symphonie ».

Il y reçoit la formation communément donnée à cette école, qui le mène à la maîtrise de la composition, du piano et de l'orgue, et à la connaissance du plain-chant. Ses études ont déjà souligné sa nonchalance, et l'ont mis en rapport avec Saint-Saëns, début d'une estime réciproque.

Gioacchino Rossini dès l'âge de douze ans et sans avoir suivi de véritables études musicales approfondies écrit ses première sonates. A partir de 1810, sa carrière est véritablement lancée à Venise, puis à Naples, caractérisée notamment par une rapidité d'écriture remarquable. 1822 marque le début d'un périple européen qui le mènera, par Vienne et Londres jusqu'à Paris. En semi-retraite à partir de 1830, toutefois ponctuée par son "Stabat Mater" et ses "Péchés de Vieillesse", il repart en Italie (Bologne en 1836 puis Florence en 1848) avant de revenir définitivement à Paris en 1855.